Les centres anciens dégradés
Contrairement aux idées reçues, les centres villes ne sont pas toujours de coquets quartiers bourgeois ou bobo. Ils sont même, dans certains cas, les quartiers les plus populaires de leur ville.
Dans les grandes métropoles de l'arc méditérranéen français (Perpignan, Marseille, Toulon, Grasse...), les centres villes anciens regroupent un habitat en mauvais état, abritant une population pauvre et le plus souvent communautarisée (gitane ou arabe). Ils offrent alors un aspect peu engageant qui contribue à leur deficit d'image, agravant pas là la paupérisation de la population... C'est un cercle vicieux.
Les formes d'habitat sont obsolète et les appartement ne sont pas adaptés à l'accueil de familles: peu de lumière, pas d'ascenseurs... Le tissu est surdense et mériterait des aérations: création de squares, de places, de cours dans les ilots. De plus les équipements attractifs manquen cruellement sur ces quartiers (écoles, lycées, équipements sportifs).
Aujourd'hui ces quartiers on atteint un stade de misère très avancé renadant particulièrement difficile leur rénovation. A cela s'ajoutte de très nombreuses contraintes techniques et architecturales (ZPPAUP). Les coûts de réhabilitation d'immeubles grimpent donc très rapidement et la plupart des petits propriétaires ne peuvent pas assumer seuls les travaux.
A ce problème s'ajoutte la multitude des propriétaires ce qui complique le bouclage financier des travaux en particulier quand un certain nombre d'entre eux, peu scupuleux, ne souhaite pas réaliser de travaux.

Aujourd'hui, la plupart de ces quartiers sont traités par l'ANAH dans le cadre d'OPAH ou d'OPAH-RU lancée par les maires. Les aides de l'ANAH permettent ausx propriétaires de réaliser des travaux dans leur logement mais malheureusement le dispositif n'est pas contraignant et surtout il n'est pas global.
Depuis 2003 certains de ces quartiers classés en Zone Urbaine Sensible (ZUS) peuvent bénéficier des crédit de l'Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine (ANRU) pour mener des opérations de grande ampleur sur ces quartiers. En effet dans le cadre d'un programme de rénovation urbaine, la commune peut obtenir des subventions sur le logment mais aussi sur des programmes commerciaux, sur l'amélioration des aménagements et sur les équipements publics.
Cependant, la rénovation de ces quartiers reste très difficile et les mécanismes de gestion de copropriétés ne favorise pas l'investissement de bailleurs sociaux sur ces quartiers.
Dans les grandes métropoles de l'arc méditérranéen français (Perpignan, Marseille, Toulon, Grasse...), les centres villes anciens regroupent un habitat en mauvais état, abritant une population pauvre et le plus souvent communautarisée (gitane ou arabe). Ils offrent alors un aspect peu engageant qui contribue à leur deficit d'image, agravant pas là la paupérisation de la population... C'est un cercle vicieux.Les formes d'habitat sont obsolète et les appartement ne sont pas adaptés à l'accueil de familles: peu de lumière, pas d'ascenseurs... Le tissu est surdense et mériterait des aérations: création de squares, de places, de cours dans les ilots. De plus les équipements attractifs manquen cruellement sur ces quartiers (écoles, lycées, équipements sportifs).
Aujourd'hui ces quartiers on atteint un stade de misère très avancé renadant particulièrement difficile leur rénovation. A cela s'ajoutte de très nombreuses contraintes techniques et architecturales (ZPPAUP). Les coûts de réhabilitation d'immeubles grimpent donc très rapidement et la plupart des petits propriétaires ne peuvent pas assumer seuls les travaux.
A ce problème s'ajoutte la multitude des propriétaires ce qui complique le bouclage financier des travaux en particulier quand un certain nombre d'entre eux, peu scupuleux, ne souhaite pas réaliser de travaux.

Aujourd'hui, la plupart de ces quartiers sont traités par l'ANAH dans le cadre d'OPAH ou d'OPAH-RU lancée par les maires. Les aides de l'ANAH permettent ausx propriétaires de réaliser des travaux dans leur logement mais malheureusement le dispositif n'est pas contraignant et surtout il n'est pas global.
Depuis 2003 certains de ces quartiers classés en Zone Urbaine Sensible (ZUS) peuvent bénéficier des crédit de l'Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine (ANRU) pour mener des opérations de grande ampleur sur ces quartiers. En effet dans le cadre d'un programme de rénovation urbaine, la commune peut obtenir des subventions sur le logment mais aussi sur des programmes commerciaux, sur l'amélioration des aménagements et sur les équipements publics.
Cependant, la rénovation de ces quartiers reste très difficile et les mécanismes de gestion de copropriétés ne favorise pas l'investissement de bailleurs sociaux sur ces quartiers.

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